L’histoire de la chandelle

Pendant des siècles, on utilisait le jonc, une espèce de plantes, pour la fabrication de chandelles. On le trempait dans de la graisse animale ou végétale pour, par la suite, la faire durcir. À partir du Moyen Âge, la chandelle rivalise avec la lampe à l’huile, puisqu’elle demande moins d’entretien et que le coût de fabrication est relativement bas. On raconte que les chandelles, à l’époque, produisaient une fumée épaisse et une odeur très peu appréciable.

Ce n’est qu’au XIVe siècle que le mot « bougie » apparu dans la langue française. Sur le plan terminologique, le mot « bougie » est réservé aux instruments fait exclusivement de cire d’abeille, tandis que le mot « chandelle » est utilisé pour les instruments fait de suif.

Naturellement, les bougies sont de couleur jaunâtre, puisqu’elles sont faites de cire d’abeille, mais elles étaient parfois blanchie par une exposition au soleil de plusieurs jours ou semaines. À ce moment là, leur valeur étaient plus élevé que les bougies jaunes, puisqu’elles étaient presque exclusivement utilisé dans les palais royaux.

La bougie, comme on la connait aujourd’hui, fût développée au milieu du XIXe siècle. Elle se distingue par sa fabrication de matière première et de l’utilisation de mèches de coton tressé, permettant à la mèche de courber. C’est à ce moment que la chandelle commença à disparaître.